Il arrive un moment où le dialogue ne remplit plus sa fonction naturelle; lorsqu’il existe encore, il suscite blessures, confusion, impasses, débordements émotionnels…
Que faire, face à l’impasse ? Face à l’impuissance ? Comment réussir à prendre le recul nécessaire, réussir à envisager la situation sous un autre angle, bénéfique, apaisée et vivante ?
Retrouver le dialogue pour prendre ensemble les décisions qui nous concernent en tant qu’adultes mais également avec tous les membres de la famille. Reprendre contact avec son adolescent, son enfant qui grandit, sa soeur, son frère, ses parents.
Continuer à être parent, même en cas de séparation
« La violence est l’expression tragique de besoins non reconnus, non satisfaits » Marshall Rosenberg
« Le médiateur crée, pour vous, un espace bienveillant, absolument non jugeant, un espace de récupération où chacun peut redécouvrir des ressources que l’impact émotionnel de la relation avait occultées.
Un espace où chacun peut exprimer ce qu’il est en train de vivre, chacun peut faire le point sur ses besoins, ses émotions, fonder ses décisions sur un mode actif et non réactif.
Et c’est dans cet espace sécurisé que le dialogue, petit à petit se renoue de façon pacifié. Les différences – de point de vue, d’ aspirations, de besoins…- ne sont pas gommées.
En revanche, il devient possible d’accepter le point de vue de l’autre comme un autre point de vue, sans jugement, sans prêt d’intention, sans contrainte… simplement un autre regard sur le différend et de là, naît l’échange constructif et créateur de solutions nouvelles.
Comment vivre ensemble, comment se séparer, comment guider et accompagner mon enfant, comment se répartir un héritage tant matériel que moral ?
La réponse à ces questions difficiles suppose que les parties prenantes soient disponibles, créatives… autant de caractéristiques enfouies dans la détresse des émotions nées du conflit mais que la participation à une médiation peut régénérer. »
Qu’est ce que je peux apporter de nouveau à votre problématique ?
- Je suis indépendante.
- Je suis impartiale.
- Je m’engage à la confidentialité (si vous souhaitez être accompagné-e en médiation par votre avocat, il aura alors un rôle de conseil pour les solutions envisagées et les accords trouvés).
- Je garantis l’équité de parole.
- Je facilite le lien entre les protagonistes, en m’assurant que chacun a bien compris et entendu l’autre.
- Je ne suis ni juge, ni arbitre.
- Je mets en place les conditions nécessaires à l’écoute mutuelle de la réalité pour chacun.
- J’utilise le processus de la Communication Non Violente: observation des faits, écoute des émotions, attention aux besoins, transformation des besoins en demandes réalisables.
- J’interviens en tant que tiers « passeuse de parole », afin de vous accompagner à trouver des solutions par vous-même pour clarifier des non-dits interpersonnels et-ou améliorer un système de fonctionnement défaillant.
Dans un espace structuré et sécurisant, les personnes retrouvent leur capacité à construire elles-mêmes une solution à leurs différends.
Je vous invite à :
- Un esprit de coopération, loin de toute idée de faute, honte, culpabilité, revanche ou punition.
- Avoir la vision la plus large possible de la situation afin de ré-envisager de nouvelles solutions.
- Aboutir à des décisions qui puissent satisfaire chacun, vers une relation gagnant-gagnant.
La médiation n’est pas :
- Une thérapie.
- Aussi longue qu’une procédure judiciaire avec successions de requêtes.
Vous souhaitez mettre en place une médiation ?
Vous me contactez.
Vous appelez ou j’appelle la seconde personne pour l’informer de votre souhait de médiation avec elle.
Nous commençons par des entretiens individuels afin de clarifier les attentes, et prendre conscience des enjeux qui sont ou ne sont pas de l’ordre de la médiation.
Nous mettons en place les séances plénières proprement dites de médiation (médiateur + les médiants).
Nous pouvons reprendre des entretiens individuels quand vous le souhaitez entre les plénières.
Il est possible de rédiger et de signer un simple accord, qui peut être repris par votre avocat et homologué par un juge pour avoir force exécutoire. Si vous le souhaitez, vos avocats peuvent être présents lors de la rédaction des accords.
Il est possible également, pour des accords concernant le quotidien de l’enfant et des ajustements à trouver (éducation, santé, orientation..), de se contenter d’un engagement signé par les médiants.
La médiation est envisageable également pour un groupe de 3, 4, 5 personnes, ou plus.